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Outils de référencement

Vérifier ses mots ou expressions clés

Avant de commencer à écrire la première ligne de contenu, il est important de choisir ou définir, les mots et expressions clés que nous devons cibler et utiliser de manière adroite dans les contenus.

Pour cela, il existe des outils en ligne qui peuvent nous aider à cerner, puis à affiner ces mots et expressions, en fonction de divers critères démographiques et géographiques.

Google trends et Google AdWords en sont de parfaites illustrations.
Heureusement, il existe diverses alternatives à Google comme Keyword Tool, web ceo, Keyword Discovery, Wordtracker, Soovle, SeoChat, et bien d’autres… payantes ou gratuites.

Les outils d’optimisation de contenu

Une autre approche pour vérifier les mots clés réellement présents dans les contenus qui ont été écrits, consiste à employer des outils de vérification.

Les outils

Généralement, ces outils se présentent sous la forme de plug in installables sur un navigateur (Firefox principalement).

En navigant sur les pages concernées, tout un ensemble de données peut être récolté et nous indiquer ainsi, la manière de pouvoir optimiser les contenus.

Par exemple :

  • SeoToolbar,
  • Rank Checker,
  • SeoQuake,
  • KGen…

La longue traîne

Une fois les mots et expressions clés définis et mis en place, il peut être intéressant d’installer une longue traîne pouvant récolter d’autres alternatives de recherche.

Lors de la rédaction de cette longue traîne, il est toujours utile de s’entourer de dictionnaires divers afin de s’assurer de la justesse des mots :

  • thesaurus.com,
  • synonym,
  • metaglossary,
  • soolve
Une fois ce contenu établi, il ne reste plus qu’à poster ses pages en ligne et à observer le résultat de positionnement.

Celui-ci est assez rapide et une fois les premières retombées observées, il ne nous restera plus qu’à affiner en adaptant le contenu.

Tracking et analyse

La plupart des solutions du marché se consultent de manière très ergonomique et permettent de rassembler l’ensemble des données de manière visuelle.

Bien que s’utilisant de la même manière, il existe deux principes de fonctionnement radicalement différents :
Les outils qui renvoient les données récoltées dans une base de données tierce et propre au service (Google, AT Internet), et ceux qui renvoient les données sur le même serveur que celui de l’hébergement du site et ce en toute indépendance.

Le choix de l’une ou l’autre de ces solutions reposera surtout sur la capacité d’autonomie et de protection des données récupérées. Par ailleurs, rien ne nous empêche d’en utiliser plusieurs et de croiser les données. Il existe d’autres alternatives, il suffit de googler sur le sujet avec « web analytics » comme mot clé principal, ou sur des pages articles, telles que 10 outils de web analytics pour votre site internet.

Réagir et adapter

A l’aide des outils d’optimisation de contenu, il est important de voir si le site correspond à ce que nous souhaitons présenter aux internautes.

Avec les outils de tracking nous allons pouvoir vérifier, si le trafic et donc la réaction des utilisateurs, correspond à nos attentes.

Nous pourrions schématiser ces vérifications en disant que les premiers contrôlent l’état dans lequel le contenu est présenté (à savoir le conteneur d’informations ou la forme), et nous pourrions considérer que les seconds s’attardent plus à suivre la lecture de ces contenus et plus particulièrement comment les utilisateurs les perçoivent…

Cette fois ci, on s’attarde plus sur le contenu, le fond même de cette information.

Ainsi, il nous faut suivre et vérifier le conteneur ou la forme d’un côté, et le contenu ou le fond de l’autre, puis gérer ces deux curseurs afin de rendre la conversion optimale : à savoir, que l’offre corresponde au mieux à la demande.

Ces deux familles d’outils s’utilisent en permanence et conjointement. Les résultats des uns doivent influer sur l’amélioration permanente du suivi des autres. Le conteneur (ou la forme), doit ainsi être mieux structuré, organisé, découpé, tagué… et le contenu (le fond), doit être réécrit, mieux synthétisé, et surtout, se distinguer du reste de la planète web afin de toujours apporter quelque chose à l’internaute.

Le web doit être vivant.